Aide au retour volontaire, lutte contre les violences migratoires

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Mettre en place une aide au retour volontaire reposant sur cinq axes :

  • Politique d’incitation à la relocalisation volontaire des extra-européens naturalisés
  • Expulsion des étrangers auteurs de crimes et délits sur le territoire européen en se basant sur le cadre légal préexistant
  • Lutte contre le trafic d’êtres humains
  • Redonner tout leur sens aux notions d’hospitalité, d’accueil, d’invitation, de protection et de chez-soi
  • Principe de responsabilité migratoire : chaque pays, occidental ou non-occidental est responsable des flux humains qu’il génère, et notamment de la circulation de ses ressortissants criminels

Court terme

  • Les gouvernements de chaque pays occidental concerné doivent reconnaître publiquement l’erreur historique du remplacement racial, présenter des excuses officielles à leur peuple, et s’engager à mettre fin à cette trahison des peuples d’Occident par leurs dirigeant.
  • Lutte contre le trafic d’êtres humains, les réseaux mafieux de passeurs, les complices tant occidentaux qu’étrangers du trafic humain,
  • Relocalisation volontaire des populations extra-européennes naturalisées sur la base du volontariat et de l’incitation financière : l’immigration non-européenne coûte tellement cher à l’Occident que nous voulons offrir un pécule à tout non-européen qui abandonnerait sa nationalité pour rentrer dans son pays. Son montant pourra s’élever à plus de 20 000 euros, le seul coût d’une expulsion étant de 14 000 euros en moyenne, sans compter les économies titanesques à long terme réalisables grâce à la remigration. Le versement de cette somme s’accompagnera de l’enregistrement des empreintes digitales et génétiques du demandeur de retour dans un fichier commun à toute l’Europe, permettant le jugement et l’expulsion des fraudeurs.
  • Création d’une agence d’aide à la relocalisation chargée d’organiser de vastes campagnes de publicité pour le retour au pays d’origine, de diffuser les informations relatives à la relocalisation, et d’aider les candidats dans leurs démarches. Cette agence travaillera en collaboration avec la Justice pour proposer le retour volontaire à toute personne d’origine extra-européenne condamnée pour crime ou délit.
  • Organiser des campagnes d’information dans les principaux pays d’émigration afin de détruire la propagande des mafias qui mentent aux migrants en leur promettant l’eldorado en Europe.
  • Remigration automatique des clandestins et des auteurs extra-européens de crimes et délits.
  • Identification et indemnisation des victimes de violences migratoires, qu’elles soient autochtones ou étrangères.
  • Faire respecter les lois européennes en expulsant d’Europe tous les clandestins.
  • Déchéance de nationalité automatique pour les criminels et les délinquants extra-européens.

Long terme

  • Accord bilatéraux avec les pays d’origine, comprenant des sanctions économiques en cas de non-respect. Toute aide au développement doit être conditionné au respect de ces accords.
  • Campagnes d’affichage dans ces pays pour décourager à l’émigration vers l’Europe et dénigrer ceux qui abandonnent leur pays.
  • Renégociation des textes internationaux régissant le droit d’asile en intégrant non seulement la menace terroriste mais aussi les menaces de sabotage de la démocratie, des libertés individuelles et des droits de l’homme dans les pays d’accueil. Dans l’état actuel des textes internationaux, un terroriste peut obtenir l’asile en Occident s’il arrive à prouver qu’il est persécuté et en danger dans son pays d’origine. L’Europe ne doit plus être une terre d’accueil pour les terroristes, les miliciens et les fanatiques religieux.
  • Redonner toute sa valeur au droit d’asile, à l’hospitalité, qui par définition est limitée dans le temps, de sorte que les réfugiés ne retrouvent pas en Occident ce qu’ils ont fui dans leurs pays d’origine. Le droit d’asile consiste à accueillir et à protéger les personnes qui en ont un besoin vital, il ne consiste en aucun cas à installer de force des peuples entiers dans le but de les assimiler. Le droit d’asile n’a rien à voir avec l’immigration de peuplement. On doit cesser d’instrumentaliser le droit d’asile pour imposer le remplacement ethnique. Par définition, l’hospitalité et le droit d’asile impliquent d’être maître chez soi et de bien opérer la différence entre l’accueilli et l’accueillant.
  • Reconnaissance institutionnelle du crime d’ethnocide.
  • Sanctions internationales contre les Etats organisant, soit par négligence, soit délibérément, des flux humains portant atteinte à la sécurité d’autres Etats ou aux droits humains : flux d’immigration clandestine, essaimage de terroristes, rétention d’information concernant le passé criminel des ressortissants, refus de coopérer aux enquêtes internationales visant des individus dangereux.

Informations

Les européens sont favorables à la remigration, bien qu’aucun parti ne veuille la leur proposer : 2 Français sur 3 souhaite la remigration d’un grand nombre d’immigrés.1Sondage Kantar dans de l’Obs

Le simple respect des lois permettrait d’expulser une grande partie sinon la majorité des extra-européens présents sur notre territoire.

La déchéance de nationalité n’a quasiment pas d’opposants puisque personne n’ose prétendre qu’un criminel cherche à s’intégrer, ni présenter des terroristes commes citoyens exemplaires en cours d’intégration.

La reconduite de force à la frontière est plus chère que payer 20 000 euros par personne pour un départ volontaire. De plus, un extra-européen coûte 10 à 100 fois plus à l’Europe s’il passe sa vie sur notre territoire en profitant de nos services publics et de nos aides sociales.

Toute reconduction à la frontière ou retour volontaire doit être accompagné d’une prise d’empreintes digitales pour qu’aucun retour ne soit possible.

 

Notes et références

Notes et références
1 Sondage Kantar dans de l’Obs
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